Hologrammes, moteurs, bois, 36cmØ, 2020.
Les hologrammes sont des empreintes, par la lumière. De par le mouvement, l’éclairage et la position du spectateur, ils dévoilent leur relief. Les hologrammes, réalisés lors de ma résidence à L’HoloCenter de New York en 2016 représentent la décomposition du mouvement d’un objet articulé. Ici, les hologrammes se déplacent de façon automatisée par un moteur à rotation lent, dans un disque inspiré des jouets optiques comme le praxinoscope et le phénakistiscope. Cette pièce représente l’idée de tentatives à animer une image en relief. Tentatives que l’on peut trouver dans l’histoire du cinéma ou de l’image en général, sous forme de dispositifs, parfois aboutis parfois ratés mais qui témoignent d’un imaginaire entre mécanique et optique. Réalisé en collaboration avec Caroline Rivalan.