SEPT OFF / L’ IMAGE SATELLITE 2021
Atomes de fiction Exposition personnelle uni-vers-photos1 rue penchienatti – 06000 Nicedu 09.10 au 16.10mer – sam 15h – 19hvernissage sam 09.10 à 18h / médiation sam 16.10 à 17h Y-a-t-il des histoires qui n’existent que sous forme d’images? Qu’elles soient abstraites ou non, en mouvement ou figées, ces oeuvres sont fabriquées soit par des procédés argentiques alternatifs soit par intervention directe sur le support photosensible. Au-delà de la physicalité et la dimension «fait maison» de cette pratique expérimentale, cette exposition questionne l’apparition et la disparition de l’image ainsi que les potentiels de fictionsqu’elle véhicule. Souvent empruntées, trouvées et réemployées mes images sont décomposées, parfois altérées comme pour en dégager des fragments narratifs et sonder des histoires souterraines. La technique propose des indices de lecture. Elle peut être à la fois le sujet représenté et la substance révélatrice de l’image, comme pour raconter le processus de création de sa propre apparition. Ou bien, elle sert d’angle de vue pour revisiter une archive oubliée.
L’EAU
EXPOSITION Du 20 avril au 04 septembre 2021 Villa Saint-Hilaire, Grasse. Au centre des préoccupations environnementales et écologiques, l’eau est une source d’inspiration pour de nombreux artistes locaux qui s’emparent de ce sujet et qui livrent à cette occasion une vision toute personnelle et singulière de cet élément vital. Venez découvrir les oeuvres de Christophe BIANCHERI, CARIBAI, René GHISELLI, Emmanuelle NEGRE, Alain SABATIER et Claire XUAN, et d’un groupement de photographes de l’atelier VOIR, qui partagent avec le public l’image d’un souvenir, d’une expérience, d’un jeu, d’un regard contemplatif.
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Oh ! Oh !Expo-vente en ligne et en click & collectÀ partir du 1er décembre 2020+ de 110 artistes et + de 700 œuvres à des prix « accessibles » de 3 à 300 € Cliquez ici pour commencer votre arty shopping ! Cet évènement soutient les artistes en leur reversant l’intégralité des ventes.Oh ! Oh ! Oh ! se démultiplie avec :– Une plateforme numérique, conçue en partenariat avec WiziShop, présentant les artistes et leurs œuvres et permettant d’offrir de l’art à Noël depuis chez soi (en ligne à partir du 1er décembre)– Un accrochage d’une sélection des œuvres dans les vitrines du Dojo, histoire de faire un lèche-vitrine artistique au 22 bis bld Stalingrad à Nice– Un drive-in de l’art avec la possibilité de venir collecter les œuvres d’art au Dojo (sur rdv) Oh ! Oh ! Oh ! bénéficie du soutien de BOTOX(S), réseau d’art contemporain Alpes & Riviera qui fédère près d’une trentaine de lieux engagés dans la production et la diffusion de l’art contemporain et du DOJO.
Ian Curtis likes this place
IAN CURTIS LIKES THIS PLACE Une exposition collective proposée par Julien Griffaud et Quentin Spohn Loic Alsina _ Olivia Borg _ Marc Chevalier _ Maxime Duveau _ Jean-Loup Faurat _ Benjamin Fincher _ Jérémy Griffaud _ Julien Griffaud _ Magali Halter _ Aïcha Hamu _ Ajda Kara _ Hildegarde Lazrak _ Loïc Le Pivert _ Olivier Marro _ Florent Matteï _ Marie- Ève Mestre _ Gérald Panighi _ François Paris _ Caroline Rivalan _ Nicolas Rubinstein _ Nina Scceletton _ Quentin Spohn _ Cédric Teisseire _ Patrick Walworth Vernissage : vendredi 13 septembre 18h30 Performances :FOVÉA [Emmanuelle Nègre & Geoffrey Boulier]Marc Chevalier, Alicia Malialin & Morgane Mortelmans Sortie d’un numéro de ZÉRO spécial Joy Division (fanzine)
Nice, Cinémapolis
*« Nice est devenue cinémapolis. Il y a ici aux environs de treize troupes qui tournent, paraît-il » Louis Feuillade, réalisateur, à Marcel Levesque, acteur, février 1917. Commissariat de Jean-Jacques Aillagon, assisté d’Aymeric JeudyScénographie & Conception graphique : Kristof Everart & Marcel BataillardProduction : Jean-Pierre Barbero En partenariat avec La Cinémathèque française. Nice est l’un des berceaux du cinéma. C’est en 1896 qu’étaient tournées, par les frères Lumière, les premières images animées du Carnaval. À Nice comme ailleurs, les premiers films réalisés sont des reportages, tels ceux inscrits au Catalogue Lumière, à l’instar de Touristes revenant d’une excursion, 1897 ; Carnaval [I], 1897 ; Cortège présidentiel, place Masséna à Nice, 1901 ; M. le président de la République sur la Jetée-Promenade, 1901… C’est par ailleurs, dès les années 1910, que les tournages de films de fiction se multiplient. Bigorno fume l’opium (Pathé Fiction) est tourné en 1914. Les premiers tournages apprécient à Nice ce que d’autres réalisations recherchent en Californie, la qualité et la constance de la lumière, indispensable ingrédient de cette expérience artistique nouvelle qu’est le cinéma. Les incunables de la filmographie niçoise sont, ainsi, réalisés en plein air. Le cinéma aura cependant rapidement besoin d’équipements propres de façon à pouvoir bénéficier de la puissance évocatrice de décors construits, d’abord en extérieur, puis en intérieur, la capacité à mieux produire de la lumière électrique s’étant affirmée. C’est avant 1908 qu’un studio Pathé ouvre route de Turin, suivi par un studio Gaumont, à Carras, en 1914 et, bien sûr, par la Victorine en 1919. En 1930, ce sont six studios qui constellent, d’ouest en est, le territoire niçois, reproduisant sur la Côte d’Azur le même phénomène qui s’était fixé sur les collines de Los Angeles, à Hollywood. Le destin si représentatif des Studios de la Victorine, dont on célèbre le centenaire, s’inscrit dans cette histoire-là. Quand, en 1919, Serge […]
VIDEOFORMES 2019
PRIX VIDEOFORMES 201915 > 17 mars Samedi 16 mars : Salle Boris Vian | Maison de la CultureDimanche 17 mars : Espace municipal Georges-Conchon Palmarès : Dimanche 17 mars | 16h30 | Espace municipal Georges-Conchon Edito: Toute activité humaine qui se pérennise un tant soit peu a vocation à s’inscrire dans l’histoire, au moins celle de la cité qui en est le théâtre. Ainsi, la ville de Clermont-Ferrand, est devenue l’une des capitales mondiales du cinéma par son Festival du court-métrage. Cette aventure à ses racines dans les années soixante-dix et l’action des étudiants et de leur exceptionnel ciné-club. Ce que certaines personnes ignorent, c’est que cette génération a aussi donné naissance à un festival d’art vidéo – VIDEOFORMES – qui a évolué pour embrasser le champ des arts numériques, et plus tard un festival du film documentaire (Traces de vie), auquel on peut rajouter Nicéphore, festival d’images fixes. Peu de cités peuvent s’enorgueillir d’un tel panel d’événements qui parcourent quasiment l’ensemble des formes du monde l’image en mouvement, hormis la ville de Toronto, la véritable capitale mondiale du cinéma (un festival de cinéma par semaine en moyenne !). Ainsi replacée dans un contexte particulier, la 34eme manifestation d’arts numériques poursuit ses objectifs : observer, présenter, produire des œuvres en phase avec leur temps et les «nouvelles technologies ». Pour marquer l’héritage qui est le nôtre, nous avons choisi de revisiter les pionniers de cet art récent en présentant une pièce du patrimoine : TV Buddha de Nam June Paik qui ouvre l’accès aux expositions dans lesquelles un grand nombre d’œuvres sont présentées en première mondiale, qu’elles soient produites dans notre programme de résidences (Imaginary Systems, Kika Nicolela, Agnès Guillaume) ou offertes par des artistes, comme le Pandemonium de Tania Mouraud ou loving de Regina Hübner. Ajoutons à cette liste, la pièce d’Elena Artemenko, jeune artiste russe, les œuvres présentées par la Galerie Claire […]
Revolutions per minute Festival
RPM Fest is dedicated to short-form poetic, personal, experimental film, video, VR, expanded cinema and audiovisual performance. We are looking for any work that experiments with the formal possibilities or hybrid form of film, video audiovisual, animation, expanded cinema and VR under 15 minutes. RPM Fest will take place at UMass-Boston and other Boston venues on Feb. 2 & 3, 2019. http://revolutionsperminutefest.org/
PRISME
Pour la première édition de son festival, Mire vous invite à partager sa connaissance d’un cinéma argentique qui se fabrique aux 4 coins du monde et qui, plus qu’une simple pratique, est une vraie démarche d’exploration. Revendiquant avant tout des manières de voir, de faire et de penser, PRISME laisse le cinéma se fixer ou s’étendre, expose des pratiques pionnières et discute du futur, s’ouvre sur la photographie, les arts plastiques, performatifs et sonores. Dans le sillage des Bains Argentiques, rencontre internationale des laboratoires cinématographiques d’artistes organisée par Mire en 2016, PRISME#1 souhaite rendre visible la dynamique d’un réseau international qui repose sur des valeurs d’échange de savoir, d’entraide et de partage, dans un rapport engagé et passionné à une technique et une liberté de création. Les 2 programmes Laboratory Aim Density (L.A.D) sont un aperçu de cette vitalité artistique et de la pertinence de créer en 2018 sur le médium argentique…15 films sélectionnés avec soin, un concentré de la richesse de ce qui se fabrique sur film aujourd’hui. A un moment où l’idée est répandue que, suite au « passage au numérique », l’argentique est obsolète, ces formes de résistance nous invitent à une réflexion sur les pratiques actuelles : c’est l’enjeu de la table ronde De la révolution numérique à la renaissance analogique : les vies multiples du cinéma argentique. L’exposition Images vibrantes montre quelques exemples de ces ‘’contre-feux’’, avec le travail d’artistes qui réexplorent des procédés centenaires de la photographie et de l’image en mouvement, prouvant le potentiel d’innovation perpétuel propre à toute technique. Dans cette mouvance, le spectacle Ombre et lumière invite à redécouvrir la lanterne magique, dispositif ancêtre du projecteur, qui plaçait le cinéma sous les augures de l’art vivant. Et comme un écho contemporain à ces colporteurs de spectacle visuel , la soirée Turbulence d’ondes propose des sets de cinéma qui se jouent en direct et des performances sonores […]
Pugnant Film Series
Οι ταινίες είναι παράθυρα για να κοιτάζεις τον κόσμο – ενίοτε για να σε κοιτάει κι αυτόςPUGNANT FILM SERIES Ένα Σάββατο του μήνα,Auteur-Underground-Dada-Bizarre-Ungenred ΣΙΝΕΜΑ στην Ανδόρα από το Pugnant Film SeriesΣάββατο 12.01.2019 (vol.2)To see more lighTstakra της Sara Bonaventura Mandres της Cassandra Celestin Exclusion Zone του Alexander Isaenko Karoto του Αρίωνα Καλογερά Jeunes Hommes à la fenêtre τoυ Λουκιανού ΜοσχονάWerewolf luv της Emma Jones Disciplin og fylogenese του Thomas Kyhn Rovsing HjørnetAll Alone Before Frozen Gods της Elizabeth T. VazquezSea side της Emmanouelle NegreΏρα έναρξης: 16.15 – Είσοδος ελεύθερηΚινηματογράφος Ανδόρα – Σεβαστουπόλεως 117 – Τ. 210 6980796 – www.andora.gr] ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~The films are windows to look at the word – sometimes are also windows for the world to look at you.PUGNANT FILM SERIESA Saturday per monthAuteur-Underground-Dada-Bizarre-Ungenred CINEMA at Andora by Pugnant Film Series Saturday 12.01.2019 (vol.2)To see more lighTstakra by Sara Bonaventura Mandres by Cassandra Celestin Exclusion Zone by Alexander Isaenko Karoto by Arionas Kalogeras Jeunes Hommes à la fenêtre by Loukianos MoshonasWerewolf luv by Emma Jones Disciplin og fylogenese by Thomas Kyhn Rovsing HjørnetAll Alone Before Frozen Gods by Elizabeth T. VazquezSea side by Emmanouelle NegreSchedule: 16.15 – Free EntranceCinema Andora – Sevastoupoleos 117 – Τ. 210 6980796 – www.andora.gr]
TEMPS DE POSE
Chers amis, Nous avons l’immense plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition EMMANUELLE NEGRE : TEMPS DE POSE que j’organise et qui se tiendra à The Film Gallery / Re:voir du 10 au 31 mars 2018. Le vernissage aura lieu le samedi 10 mars à partir de 18h à The Film Gallery / Re:voir en présence de l’artiste, qui proposera une performance de cinéma élargi à 19h30 à The Window. Combien de temps faut-il pour assister à l’apparition d’une image ? Les œuvres proposées dans Temps de pose, première exposition personnelle parisienne de l’artiste niçoise Emmanuelle Nègre, interrogent la photosensibilité des supports et des différentes temporalités des techniques de développement artisanal. En s’intéressant à certains procédés considérés comme désuètes, tels que le rayogramme, l’anthotype, le cyanotype ou l’hologramme, ou alors en expérimentant avec le phénomène de la persistance rétinienne, au principe de la perception du mouvement dans le cinéma, la sélection de travaux exposés pour l’occasion à The Film Gallery questionne la notion de temps comme condition nécessaire à l’apparition des images. Si la production de l’artiste portait jusque là principalement sur la recherche et la création de différents dispositifs de projection, ces nouvelles œuvres créés pour cette exposition proposent une réflexion autour de la matérialité : les substances révélatrices de l’image sont à la foi l’outil de travail et le sujet représenté, tels que les graines de café dans les rayogrammes dévéloppés au cafénol, ou alors les cristaux de citrate d’ammonium ferrique et de ferricyanure de potassium dans les cyanotypes, et encore le coucher du soleil issu du film Le Rayon vert d’Eric Rohmer est là pour rappeler le temps d’exposition au soleil nécessaire à l’apparition de l’image anthotypique. Le temps, la lumière, la substance révélatrice : ce sont les ingrédients essentiels au surgissement de l’image photographique.Lors du soir du vernissage de l’exposition aura lieu la performance de cinéma élargi Fovéa. Emmanuelle Nègre s’occupe de la partie visuelle, en intervenant sur les projecteurs jouant de la lumière […]